11/06/2012
Revue Vraiment durable - Rio+20 : quel cosmopolitisme ?
Après la sortie, en janvier 2012, du premier numéro appelant à Penser le développement durable, le second numéro de la revue Vraiment durable, éditée par le Comité 21 et Victoires Éditions, sous la direction de Bettina Laville, consacre, à l’occasion du Sommet de la Terre de juin 2012 « Rio+20 », son dossier thématique à la question : « Rio+20 : quel cosmopolitisme ? ».
A l'heure où certains s'interrogent sur l'utilité des conférences mondiales, la revue Vraiment durable tente de déchiffrer le sens, les attentes et enjeux de Rio+20 sous le prisme du cosmopolitisme. Quarante ans près la Conférence de Stockholm (1972) et vingt ans après celle de Rio (1992), la Conférence des Nations unies sur le développement durable, qui se tient du 20 au 22 juin 2012 au Brésil, sera-t-elle l’expression d’un cosmopolitisme ? À l’instar de Rio 1992, Rio+20 aura-t-elle un sens universel ? Pour répondre à ces questions – et en évoquant Serge Antoine, premier président du Comité 21 et grand artisan des premières conférences sur l’environnement mondial –, des acteurs de ces conférences interprètent ici le cosmopolitisme – ou la cosmopolitisation :
Ignacy Sachs aspire à un nouveau contrat social mondial, à l’exemple du contrat social de Jean-Jacques Rousseau ; Brice Lalonde voit dans la promesse d’un nouvel ordre mondial « le retour du politique » ; Dominique Martin Ferrari esquisse, autour du bien commun qu’est la forêt, une vision réconciliée de la protection et de la production ; Serge Orru s’essaye à une nouvelle déclinaison de l’humanisme cohérent avec le développement durable ; François Gemenne propose de fonder un cosmopolitisme des migrations ; Raymond Van Ermen appelle à une convention nouvelle rassemblant une communauté volontaire pour créer des référentiels sur le développement durable ; tandis que la philosophe Cynthia Fleury décrypte la signification d’une telle conférence dans l’histoire de ce jeune XXIe siècle. Des réflexions denses appuyées par les échanges avec S.E. M. Abdou Diouf, secrétaire général de la Francophonie, qui incline vers des solutions communes pour lui incontournables, et ceux avec Gérard Mestrallet autour des transitions énergétiques indispensables et des valeurs que se doivent désormais de porter à Rio+20 les grands groupes industriels. 200 pages, 25 € / Diffusion : Presses universitaires de France / ISBN : 978-2-35113-172-5 En librairies à partir du 20 juin 2012
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A l'heure où certains s'interrogent sur l'utilité des conférences mondiales, la revue Vraiment durable tente de déchiffrer le sens, les attentes et enjeux de Rio+20 sous le prisme du cosmopolitisme. Quarante ans près la Conférence de Stockholm (1972) et vingt ans après celle de Rio (1992), la Conférence des Nations unies sur le développement durable, qui se tient du 20 au 22 juin 2012 au Brésil, sera-t-elle l’expression d’un cosmopolitisme ? À l’instar de Rio 1992, Rio+20 aura-t-elle un sens universel ? Pour répondre à ces questions – et en évoquant Serge Antoine, premier président du Comité 21 et grand artisan des premières conférences sur l’environnement mondial –, des acteurs de ces conférences interprètent ici le cosmopolitisme – ou la cosmopolitisation :
Ignacy Sachs aspire à un nouveau contrat social mondial, à l’exemple du contrat social de Jean-Jacques Rousseau ; Brice Lalonde voit dans la promesse d’un nouvel ordre mondial « le retour du politique » ; Dominique Martin Ferrari esquisse, autour du bien commun qu’est la forêt, une vision réconciliée de la protection et de la production ; Serge Orru s’essaye à une nouvelle déclinaison de l’humanisme cohérent avec le développement durable ; François Gemenne propose de fonder un cosmopolitisme des migrations ; Raymond Van Ermen appelle à une convention nouvelle rassemblant une communauté volontaire pour créer des référentiels sur le développement durable ; tandis que la philosophe Cynthia Fleury décrypte la signification d’une telle conférence dans l’histoire de ce jeune XXIe siècle. Des réflexions denses appuyées par les échanges avec S.E. M. Abdou Diouf, secrétaire général de la Francophonie, qui incline vers des solutions communes pour lui incontournables, et ceux avec Gérard Mestrallet autour des transitions énergétiques indispensables et des valeurs que se doivent désormais de porter à Rio+20 les grands groupes industriels. 200 pages, 25 € / Diffusion : Presses universitaires de France / ISBN : 978-2-35113-172-5 En librairies à partir du 20 juin 2012
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