🙌 Grâce à leur engagement, cette journée de rencontres, d’analyses et d’échanges vous proposera de mieux comprendre les urgences que recouvrent les 17 Objectifs de l’Agenda 2030, pour identifier comment passer concrètement à l’action sur votre territoire et dans votre organisation.
PROGRAMME DE CETTE JOURNÉE DE RENCONTRE AVEC LES ACTEURS ENGAGÉS DU TERRITOIRE D'OCCITANIE
9h30-10h00 Ouverture institutionnelle de la journée
10h00-11h15 Table ronde : "Les ODD pour construire la résilience et la relance du territoire"
11h15-12h30 Table ronde : "Comment mettre en oeuvre les ODD dans les territoires ? Quels outils et financement pour l'Agenda 2030 ?"
12h30-14h30 Forum des initiatives - Rencontre avec les acteurs engagés du territoire occitan
14h30-16h30 Ateliers collaboratifs :
• Atelier 1 : Comment les territoires transforment les systèmes alimentaires ?
• Atelier 2 : L'engagement volontaire des entreprises, un levier de développement
• Atelier 3 : De nouveaux modèles économiques pour préserver les ressources
• Atelier 4 : Les usages de l'eau : un impératif de solidarité et de partage
• Atelier 5 : La coopération internationale au service des dynamiques territoriales
• Atelier 6 : Comment lutter contre l'effondrement de la biodiversité ?
• Atelier 7 : Réinventer les éducations dans un monde de transformations
19h30 Projection-débat du film I AM GRETA dans le cadre du Festival FReDD au CGRR Lapérouse à Albi
IMT Albi Campus Jarlard 81000 Albi
Un café spécial ESS et RSE avec une experte du sujet, Claire HOUEL, de RSCOP
Mardi 5 octobre de 9h à 10h15
* Pourquoi mettre en place une démarche RSE en ESS ?
* Quels outils disponibles ?
* Présentation de l’outil ESS PRATIQUES pour structurer et valoriser sa démarche RSE https://esspratiques.fr/
Témoignage de Mathilde ARDOUIN, Chargée mission RSE chez ADAPEI 44
et de Jean-Pierre CAILLON, Dirigeant d'Accès Réagis (Association d'insertion par l'activité économique - 44)
En VISIO (envoi du lien la veille pour les incrits)
Inscription gratuite - ouverte à tous
Visio
Depuis plusieurs années, beaucoup d’entreprises ont développé une stratégie RSE, afin de répondre à plusieurs enjeux sociaux et environnementaux. Ces retours d’expérience ont montré que la biodiversité n’était que très rarement prise en compte dans ces stratégies RSE. Pourtant, toute entreprise a des impacts directs ou indirects sur la biodiversité et il existe des leviers d’actions simples, pertinents avec une démarche RSE, permettant souvent de donner une nouvelle dynamique à ces stratégies.
Que vous soyez dirigeant(e) ou salarié(e) en charge de la RSE, de l’environnement, cette formation se base sur une méthodologie simple et claire. Elle propose des outils concrets et accessibles, des retours d’expérience, une pédagogie participative ainsi qu’un support de formation.
Objectifs de la formation :
- Découvrir les concepts et enjeux liés à la biodiversité
- Savoir repérer les opportunités de création de valeur pour son entreprise
- Comprendre les étapes méthodologiques menant à une démarche "biodiversité" structurée et adaptée à son organisation et intégrée à une démarche RSE plus globale
- Etre en capacité d'animer une démarche auprès des équipes avec succès
- Comprendre les dynamiques territoriales auxquelles participer, s'inspirer des bonnes pratiques et s emettre dans une logique de dialogue avec les parties prenantes
Programme :
1.les enjeux de la biodiversité
2. Quelles méthodes et outils pour commencer ?
3. La biodiversité appliquée à mon entreprise
Animée par
- Caroline François Even (Responsable agence Bretagne chez Biotope)
- Alexandre Delamarre (Directeur régional Loire-Bretagne chez Biotope)
Tarif:
▪ Je suis adhérent : 700 euros TTC
▪ Je ne suis pas adhérent : 900 euros TTC
Comité 21 est certifié organisme de formation, certifié Datadock
Inscription :
- Pour en savoir plus sur la formation, voir la plaquette
- Pour s'inscrire, renvoyer le bulletin d'inscription ci-joint et remplissez le formulaire ICI
Renseignements:
Anne LAURENCE
laurence@comite21.org
02.28.20.60.83
Nantes (1,5 jours - 11 heures)
La responsabilité sociétale des entreprises (RSE) n’est pas réservée aux grandes entreprises. Les TPE, PME et ETI ont tout à gagner à inscrire leur action dans cette dynamique porteuse, synonyme de compétitivité, d’innovation et de performance économique.
Les entreprises sont nombreuses à mener déjà des actions relevant de la RSE, parfois sans le savoir. Cependant, un certain nombre de connaissances, de références et de méthodologie sont indispensables pour faire de sa démarche RSE une opportunité, éviter les pièges et maintenir la dynamique dans la durée.
Comment aborder cette démarche ? Quelles actions programmer ? Quels écueils éviter ? Quels outils utiliser ?
Que vous soyez dirigeant(e) ou salarié(e) en charge de la RSE, actuel(lle) ou en devenir, cette formation se base sur une méthodologie simple et claire en huit étapes clés. Elle propose des outils concrets et accessibles, des exemples régionaux, une pédagogie participative ainsi qu’un support de formation
Pour plus de détail consultez la fiche formation.
Présentiel (Paris)
ETAPE 6 : Quel plan d'actions ? Le marché des solutions positives
Vous voulez remplacer le plastique de vos produits ? Optimiser votre flotte de véhicule ? Réduire l'impact numérique de votre activité ? isoler vos bâtiments ? … Découvrez un ensemble de produits/services à impact positif pour structurer votre plan d’actions.
Méthodologie :
Présentation d’un ensemble de solutions, disponibles sur le marché
Rencontre des acteurs des solutions positives
Avec la participation de : en cours de confirmation
Animée par Anne LAURENCE, Directrice projets RSE et nouveaux modèles économiques Comité 21.
Anne LAURENCE a 20 ans d'expérience en PME avec une expertise sur la RSE (10 ans à accompagner les équipes CAMIF, PME engagée et entreprise à mission, sur une démarche RSE à impact)
Philosphie du parcours:
Acquérir des méthodes, des outils, travailler en collectif, rencontrer des experts et des chefs d'entreprises
Ce parcours est un apprentissage collectif pour grandir sur le sujet de la RSE et de l'impact. Chaque session approfondit une thématique ( mesure de l'impact, raison d'être, achat responsable..).
S'inscrire au parcours signifie de participer à l'ensemble des étapes.(10 étapes d'avril 2021 à février 2022)
Tarif:
▪ Je suis adhérent
Modules gratuits
▪ Je ne suis pas adhérent
Tout le parcours RSE & IMPACT + : Formation courte (étape 0) + 10 modules: 2280 euros TTC (finançable OPCO)
Module à l’unité : 120 euros TTC
Comité 21 est certifié organisme de formation, certifié Datadock
Inscriptions 1 mois avant le début
Remplissez le formulaire ici :
https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSfoPYMKIo5CUPzCFjlyOh0eoSXol0I7Uu-XnUbs4y7OclOZsw/viewform
Renseignements:
Anne LAURENCE
laurence@comite21.org
02.28.20.60.83
Nantes (2h30)
Agriculture urbaine : une solution d’avenir ? Le 14 octobre 2021 > Evenement reporté, date communiquée prochainement.
Lieu de l'événement communiqué prochainement
Les politiques européennes de l’environnement, de l’action climatique, de l’énergie et plus globalement du développement durable possèdent de nombreux outils de mises en œuvre sur le territoire national, notamment via les nombreux programmes de financement de projets de l'Union européenne.
La politique de développement durable européenne est envisagée de façon intégrée, notamment via le Green Deal, et conduit à ce que les exigences environnementales et climatiques soient présentes dans l’ensemble des politiques européennes (PAC, politique de cohésion, de recherche et innovation, politique de la ville, etc.)
Le cadre financier pour la période 2021-2027 vient d’être défini et il est important de le connaître, et le comprendre pour identifier au mieux les possibilités de financements pour les porteurs de projets.
En effet, mieux comprendre ces politiques et les instruments de leur mise en œuvre est un préalable nécessaire pour un accès et une utilisation optimale des budgets européens, notamment avec la mise en œuvre du nouveau Green Deal et le déblocage et ré-allotissement des fonds liés à ces politiques.
Préparer son organisation, savoir anticiper les exigences européennes et adapter ses projets aux exigences et fonctionnements de la Commission sont des facteurs de réussite d’une mobilisation intelligente de ces budgets.
En visioconférence
En 2017, la quantité de déchets produite en France a atteint 326 millions de tonnes (enquête Collecte 2017, dans ADEME, 2020).
L’économie circulaire constitue aujourd’hui une des réponses à l’importante quantité de déchets générée par l’économie linéaire, dans laquelle les déchets ne sont pas revalorisés. Face à ce modèle non soutenable, l’économie circulaire, basée sur des principes tels que l’approvisionnement durable, l’écoconception, ou encore la consommation responsable, permet de :
L’Etat, les territoires et les entreprises s’engagent, via la création de nouveaux business models, la création de plateformes locales ou nationales qui mettent en lien les acteurs de cette nouvelle économie et les aident à saisir les opportunités (économiques, sociales et environnementales) à développer dans de nombreux secteurs (alimentaire, industriel, mode et textile, bâtiment, sanitaire, agricole, etc.), ou encore par la contrainte réglementaire (loi AGEC, 2020).
Réduire ses coûts, créer de la valeur, des emplois, limiter l’extraction de ressources non renouvelables, protéger et restaurer le capital naturel, tels sont les paris de l’économie circulaire, mais ce système est-il réellement sobre ? Si les deux concepts semblent indissociables, l’économie circulaire peut en réalité être responsable d’externalités négatives qui pourraient réduire voire annuler ses effets positifs sur les émissions de GES, la quantité de déchets, ou encore les ressources non renouvelables. Quels sont donc les points de vigilance et les prérequis pour développer un système d’économie circulaire efficace et peu impactant sur les ressources naturelles et l’environnement ? Comment les parties prenantes des territoires peuvent contribuer à rendre l’économie circulaire plus sobre ? Quelles sont les limites à ce modèle et quelles solutions peuvent être développées pour les dépasser, afin d’inscrire l’économie circulaire dans un objectif plus global de sobriété ?
Intervenants :
- Etienne Lorang, Doctorant, Chaire Economie du climat du Bureau d'Economie Théorique et Appliquée (Paris Dauphine), et INRAE (UMR BETA)
- Laetitia Martine, Directrice de l’environnement chez Orange France
- Gilles Vermot-Desroches, Senior Vice-President Citoyenneté et Relations Institutionnelles, Schneider Electric
- Justine Emringer, Cheffe de projet Métabolisme urbain, Plaine Commune
Quatrième atelier du Parcours d'accompagnement Sobriété et nouveaux modèles économiques
Evénement réservé aux adhérents. Pour vous y inscrire, merci de contacter Clara BEAUVOIR : beauvoir@comite21.org
Les professionnels de la communication sont en prise directe avec les évolutions de la société. En plus de promouvoir une organisation, ses activités et ses produits, ils doivent désormais contribuer à l’avènement d’un nouveau modèle de développement, davantage en phase avec les limites croissantes de notre planète et avec le changement climatique.
Cette formation met l’accent sur les retours d’expériences, les bonnes questions à se poser et les outils pratiques. Elle s’adresse aux chargé(e)s de communication dans les organisations, aux chef(fe)s de projets RSE avec un volet communication ou à l'interface avec les équipes communication de l'organisation, ainsi qu’aux consultant(e)s en communication RSE.
Objectifs de la formation :
- Mieux comprendre les enjeux qui transforment la société et la communication
- Connaître les principaux impacts de la communication sur la société et l'environnement
- Définir les contours d'une approche plus responsable de la communication
- Identifier les leviers d'actions vers une communication plus responsable et être capable de les mettre en oeuvre
Programme :
1. Panorama de la communication responsable (contexte, acteurs, définition)
2. Agir sur les contenus (greenwashing, stéréotypes, visions du monde)
3. Agir sur la conception des actions de communication (questions à se poser, impacts et leviers, exemples concrets)
4. Mettre en place une démarche structurée de communication plus responsable (les différentes étapes)
Animée par
- Mathieu Jahnich (consultant chercheur en communication responsable)
Tarif:
▪ Je suis adhérent : 600 euros TTC
▪ Je ne suis pas adhérent : 750 euros TTC
Comité 21 est certifié organisme de formation, certifié Datadock
Inscription :
- Pour en savoir plus sur la formation, voir la plaquette
- Pour s'inscrire, renvoyer le bulletin d'inscription ci-joint et remplissez le formulaire ICI
Renseignements:
Anne LAURENCE
laurence@comite21.org
02.28.20.60.83
Nantes (1 jour - 7 heures)
Rejoignez le direct, sur le live twitter.
La lutte contre le changement climatique et la perte de la biodiversité sont deux enjeux majeurs du 21ème siècle qui sont traités par deux conventions internationales distinctes : la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC), de 1992 et entrée en vigueur en 1994 ; et la Convention sur la diversité biologique (CDB), de 1992 et entrée en vigueur en 1993.
Historiquement ces conventions ont des racines différentes organisées autour des naturalistes, et des climatologues. Mais leurs mesures sont, d’évidence, entremêlées, et marquées par la complexité, qu’éclairent de multiples disciplines scientifiques. En juin 2021, le GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat) et l'IPBES (Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques) ont mené un premier travail commun sur les liens entre changement climatique et effondrement de la biodiversité. Ce rapport soulignait notamment que climat et biodiversité sont liés tant sur les causes que les conséquences des crises qui les menacent.
Aussi, de plus en plus de voix politiques ou associatives souhaitent que, autant du point de vue de la gouvernance internationale que du point de vue local, climat et biodiversité soient étudiés conjointement, et que les solutions soient mises en œuvre en cohérence.
C'est pourquoi nous souhaitons à travers ce colloque revenir sur les bénéfices et risques d'un potentiel rapprochement des engagements et stratégies concernant le Climat et la Biodiversité dans la perspective de la mise en œuvre des objectifs de l'Accord de Paris et du futur accord sur la préservation de la biodiversité prévu en 2022. Ce rapprochement pose de nombreuses questions, notamment sur la question du fléchage des financements, et des impacts sur l'adaptation aux changements climatiques qu'il conviendrait d'approfondir pour identifier les gardes fous.
A quelques semaines de la COP26, et quelques mois de la COP15 sur la biodiversité, nous réunirons scientifiques, politiques, élus, ONG, et entreprises autour de ces mêmes questions : climat et biodiversité, même combat ? Quelles conséquences sur les financements et sur l’adaptation aux changements climatiques ?
Lieu: Académie du Climat au 2 rue Baudoyer à Paris
Heure : 10h-12h30
Programme :
- 10h-10h10 : Introduction par Bettina Laville, présidente du Comité 21 "L’alliance climat-biodiversité, évidences et questionnements"
- 10h10-11h : Table ronde 1 - L’alliance climat-biodiversité, constat scientifique, donnée politique, prémisse d’une nouvelle gouvernance internationale ? Sylvie Lemmet, ambassadrice déléguée à l’environnement, Ministère de l'Europe et des Affaires étrangères.
Monique Barbut, présidente du WWF France.
Eric Brun, secrétaire général de l'ONERC.
Pascal Berteaud, président du CEREMA.
- 11h-11h15 : Key Note - L’urgence des crises du climat et de la biodiversité nécessitent une meilleure coordination entre la CCNUCC et la CDB : le cas de l’adaptation au changement climatique
Olivier Pironneau, membre de l'Académie des sciences et vice-président de EASAC (European Academies Science Advisory Council).
- 11h15-12h15 : Table ronde 2 - L'alliance climat-biodiversité répond-elle aux enjeux d'adaptation des entreprises et des collectivités ?
Francesco Bellino, managing director & partner, head of social impact & sustainability practice, BCG
Gilles Vermot Desroches, coordinateur du French Business Climate Pledge.
Isabelle Spiegel, directrice de l'environnement de VINCI.
Pierre-Yves Burlot, directeur développement durable de Séché Environnement.
Yann Françoise, responsable climat-énergies et économie circulaire, Ville de Paris.
-12h15-12h30 : Conclusion par François Gemenne, directeur de l’Observatoire Hugo, auteur principal pour le GIEC, spécialiste des questions de géopolitique de l'environnement
Lien d'inscription
Contact : Clara Beauvoir - beauvoir@comite21.org
Paris - Précisions à venir.
DECOUVREZ LE PROGRAMME DETAILLÉ
S’il existe aujourd'hui une prise de conscience de plus en plus forte des citoyens sur l’écologie, tant au niveau local qu'à l'échelle nationale et internationale, les pratiques individuelles semblent insuffisantes, et ce en dépit des intentions affichées. Ainsi, plus de la moitié des Français seraient devenus "des adeptes de la décroissance" selon un sondage publié par le magazine Challenges en octobre 2019.
Ancenis