Le Comité 21 revient sur le contexte et les aboutissements de la Conférence des Nations Unies sur la biodiversité (COP 15) qui se tenait à Montréal du 7 au 19 décembre derniers.

En analysant l’Accord de Kunming-Montréal dont l’adoption a conclu la COP ainsi que le cadre mondial de la biodiversité fixé par cet accord, le Comité 21 montre que s’il ne sauve pas la nature, cet Accord lui donne des armes de défense. Un cap politique a été défini et a permis de sortir de l’ornière des détails de la négociation, la session politique a joué son rôle en facilitant la négociation finale, et l’Accord a débouché sur plusieurs succès (notamment le fait de convertir au moins 30% de la planète en zones protégées d’ici 2030).

Pour le Comité 21, l’Accord de Kunming-Montréal va plus loin que celui de Paris dans plusieurs domaines et est constitué de dispositions très prometteuses pour le sauvetage de la biodiversité, même si les cibles de cet Accord ne sont pas suffisantes.

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