23/02/2022
Publication La sobriété, fil vert de la transformation
Après deux années de travaux sur la sobriété, le Comité 21 publie une note dédiée, la consacrant comme "fil vert de la transformation" vers un nouveau modèle.
En 2020 et 2021, le Comité 21 a souhaité approfondir les conditions de la transformation structurelle nécessaire pour répondre aux enjeux sociaux et environnementaux de la société. La sobriété est apparue comme l’idéologie pouvant incarner cette transformation. Le premier défi de la sobriété étant toutefois de passer de l’idée à la réalité, de se rendre opérationnelle. Le second défi est de la rendre désirable, acceptable. Faute de concret, elle est souvent décriée car perçue comme un recul ou un frein au progrès, ou encore comme répulsive en termes de communication et marketing.
Comment dépasser ces freins ? Comment imaginer de nouveaux modèles sur les principes de la sobriété, acceptables et viables ? De quelles transformations structurelles parle-t-on ? Comment les organisations et les territoires peuvent-ils s’approprier la sobriété et transformer leurs pratiques ? Est-ce qu’une entreprise peut être sobre ?
Le Comité 21 a présenté sa publication à l'occasion d'un webinaire le 17/02, au cours duquel nous avons eu le plaisir d'échanger avec Gilles Vermot Desroches, directeur de la Citoyenneté de Schneider Electric, et Dominique Bourg, philosophe et professeur honoraire à l'université de Lausanne.
- Retrouvez le replay du webinaire du 17 février ici
- Découvrez la note "La sobriété, fil vert de la transformation" ici
- Découvrez la version courte de la note ici
En 2020 et 2021, le Comité 21 a souhaité approfondir les conditions de la transformation structurelle nécessaire pour répondre aux enjeux sociaux et environnementaux de la société. La sobriété est apparue comme l’idéologie pouvant incarner cette transformation. Le premier défi de la sobriété étant toutefois de passer de l’idée à la réalité, de se rendre opérationnelle. Le second défi est de la rendre désirable, acceptable. Faute de concret, elle est souvent décriée car perçue comme un recul ou un frein au progrès, ou encore comme répulsive en termes de communication et marketing.
Comment dépasser ces freins ? Comment imaginer de nouveaux modèles sur les principes de la sobriété, acceptables et viables ? De quelles transformations structurelles parle-t-on ? Comment les organisations et les territoires peuvent-ils s’approprier la sobriété et transformer leurs pratiques ? Est-ce qu’une entreprise peut être sobre ?
Le Comité 21 a présenté sa publication à l'occasion d'un webinaire le 17/02, au cours duquel nous avons eu le plaisir d'échanger avec Gilles Vermot Desroches, directeur de la Citoyenneté de Schneider Electric, et Dominique Bourg, philosophe et professeur honoraire à l'université de Lausanne.
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