Plus de 25 ans de travaux du Comité 21 !
Depuis plus de 25 ans, le Comité 21 a incité, mobilisé, accompagné... publié sur les enjeux du développement durable. Avec cette rubrique, nous vous proposons de retrouver la plupart des ressources (guides méthodologiques, rapports, notes d'analyse, fiches, articles...).
Nota bene : certains documents sont réservés à nos adhérents et ne sont donc pas accessibles sans codes d'accès
25/01/2024 - La communication responsable
Webinaire de la communication responsable par MJ conseil
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08/12/2023 - Webinaire CSRD
Webinaire CSRD par R3
Webinaire CSRD par R3
20/04/2021 - Les labels RSE sectoriels et généraux
Cette présentation fournit des informations utiles sur les labels RSE sectoriels et généraux pour les entreprises qui souhaitent se labelliser.
Cette présentation fournit des informations utiles sur les labels RSE sectoriels et généraux pour les entreprises qui souhaitent se labelliser.
09/07/2020 - Compte rendu de l'atelier "Sobriété et nouveaux modèles économiques : quelles possibilités pour les territoires et les organisations ?", 11 juin 2020.
Ce premier atelier du parcours d'accompagnement sur la sobriété et les nouveaux modèles a été réalisé avec la participation de Florian Cézard, co-directeur de l’Agence d’accompagnement de la transition des territoires et des entreprises); Patrick Behm, responsable du groupe de travail Transition énergétique et citoyenne au Labo de l’ESS; Marie-Hélène Morvan, présidente de #Sobériser; Jean-François Rodriguez, directeur du pilotage et de la performance de la RSE du Groupe La Poste.
Ce premier atelier du parcours d'accompagnement sur la sobriété et les nouveaux modèles a été réalisé avec la participation de Florian Cézard, co-directeur de l’Agence d’accompagnement de la transition des territoires et des entreprises); Patrick Behm, responsable du groupe de travail Transition énergétique et citoyenne au Labo de l’ESS; Marie-Hélène Morvan, présidente de #Sobériser; Jean-François Rodriguez, directeur du pilotage et de la performance de la RSE du Groupe La Poste.
30/07/2019 - Les entreprises disposent elles
des instruments suffisants pour
répondre aux injonctions
sociétales ?
A l’heure où la société semble vouloir s’emparer des enjeux climatiques et environnementaux, et demander des comptes aux Etats et aux organisations, tant publiques que privées, le Comité 21 a publié une note sur l’engagement sociétal des entreprises « De la RSE vers une stratégie de transformation à la hauteur des enjeux du 21 ème siècle » Travaux initiés depuis deux ans, cette note dessine les contours de politiques d’engagement sociétal plus efficaces et identifie les bonnes pratiques des adhérents du Comité 21 en la matière Elle propose ainsi des pistes de mise en cohérence entre d’une part leur vision du « sociétal » et d’autre part leurs stratégies de Responsabilité Sociétale de l’Entreprise. Au delà de la publication de cette note, le Comité 21 est revenu sur ces questions à l’occasion d’un débat le 20 mars à Bpifrance, animé par Bettina Laville présidente du Comité 21 et auquel étaient conviés, Roland Lescure député des français d'Amérique du Nord, président de la Commission des Affaires Economiques de l'Assemblée Nationale, co rapporteur de la loi PACTE, Sophie Chambon Diallo directrice du développement durable du Groupe SNCF, et Pierre Victoria directeur du développement durable de Veolia.
A l’heure où la société semble vouloir s’emparer des enjeux climatiques et environnementaux, et demander des comptes aux Etats et aux organisations, tant publiques que privées, le Comité 21 a publié une note sur l’engagement sociétal des entreprises « De la RSE vers une stratégie de transformation à la hauteur des enjeux du 21 ème siècle » Travaux initiés depuis deux ans, cette note dessine les contours de politiques d’engagement sociétal plus efficaces et identifie les bonnes pratiques des adhérents du Comité 21 en la matière Elle propose ainsi des pistes de mise en cohérence entre d’une part leur vision du « sociétal » et d’autre part leurs stratégies de Responsabilité Sociétale de l’Entreprise. Au delà de la publication de cette note, le Comité 21 est revenu sur ces questions à l’occasion d’un débat le 20 mars à Bpifrance, animé par Bettina Laville présidente du Comité 21 et auquel étaient conviés, Roland Lescure député des français d'Amérique du Nord, président de la Commission des Affaires Economiques de l'Assemblée Nationale, co rapporteur de la loi PACTE, Sophie Chambon Diallo directrice du développement durable du Groupe SNCF, et Pierre Victoria directeur du développement durable de Veolia.
25/03/2019 - 20 mars : Les entreprises disposent elles
des instruments suffisants pour
répondre aux injonctions
sociétales ?
A l’heure où la société semble vouloir s’emparer des enjeux climatiques et environnementaux, et demander des comptes aux Etats et aux organisations, tant publiques que privées, le Comité 21 a publié une note sur l’engagement sociétal des entreprises « De la RSE vers une stratégie de transformation à la hauteur des enjeux du 21 ème siècle » Travaux initiés depuis deux ans, cette note dessine les contours de politiques d’engagement sociétal plus efficaces et identifie les bonnes pratiques des adhérents du Comité 21 en la matière Elle propose ainsi des pistes de mise en cohérence entre d’une part leur vision du « sociétal » et d’autre part leurs stratégies de Responsabilité Sociétale de l’Entreprise ( Au delà de la publication de cette note, le Comité 21 est revenu sur ces questions à l’occasion d’un débat le 20 mars à Bpifrance, animé par Bettina Laville présidente du Comité 21 et auquel étaient conviés, Roland Lescure député des français d'Amérique du Nord, président de la Commission des Affaires Economiques de l'Assemblée Nationale, co rapporteur de la loi PACTE, Sophie Chambon Diallo directrice du développement durable du Groupe SNCF, et Pierre Victoria directeur du développement durable de Veolia.
A l’heure où la société semble vouloir s’emparer des enjeux climatiques et environnementaux, et demander des comptes aux Etats et aux organisations, tant publiques que privées, le Comité 21 a publié une note sur l’engagement sociétal des entreprises « De la RSE vers une stratégie de transformation à la hauteur des enjeux du 21 ème siècle » Travaux initiés depuis deux ans, cette note dessine les contours de politiques d’engagement sociétal plus efficaces et identifie les bonnes pratiques des adhérents du Comité 21 en la matière Elle propose ainsi des pistes de mise en cohérence entre d’une part leur vision du « sociétal » et d’autre part leurs stratégies de Responsabilité Sociétale de l’Entreprise ( Au delà de la publication de cette note, le Comité 21 est revenu sur ces questions à l’occasion d’un débat le 20 mars à Bpifrance, animé par Bettina Laville présidente du Comité 21 et auquel étaient conviés, Roland Lescure député des français d'Amérique du Nord, président de la Commission des Affaires Economiques de l'Assemblée Nationale, co rapporteur de la loi PACTE, Sophie Chambon Diallo directrice du développement durable du Groupe SNCF, et Pierre Victoria directeur du développement durable de Veolia.
18/03/2019 - Note d'analyse "
Engagement sociétal des entreprises : de la RSE vers une stratégie de transformation à la hauteur des enjeux sociétaux du 21ème siècle"
A l’heure où la société semble vouloir s’emparer des enjeux climatiques et environnementaux, et demander des comptes aux Etats et aux organisations, tant publiques que privées, le Comité 21 publie une note sur l’engagement sociétal des entreprises. Travaux initiés depuis deux ans, cette note dessine à la fois les contours de politiques d’engagement sociétal plus efficaces et identifie les bonnes pratiques des adhérents du Comité 21 en la matière.
A l’heure où la société semble vouloir s’emparer des enjeux climatiques et environnementaux, et demander des comptes aux Etats et aux organisations, tant publiques que privées, le Comité 21 publie une note sur l’engagement sociétal des entreprises. Travaux initiés depuis deux ans, cette note dessine à la fois les contours de politiques d’engagement sociétal plus efficaces et identifie les bonnes pratiques des adhérents du Comité 21 en la matière.
20/07/2018 - Fiches ODD et métiers
Si les organisations françaises ont pris du retard sur les ODD, elles sont aujourd’hui convaincues de la nécessite d’intégrer ce « nouveau cap » dans leur stratégie. Pour y parvenir, le Comité 21 propose d’examiner, avec un cycle d’Ateliers « ODD & métiers », les conditions de prise en compte des ODD dans les différents métiers d’une organisation (management, achats, marketing, reporting, supply-chain, comptabilité, R&D…).
Si les organisations françaises ont pris du retard sur les ODD, elles sont aujourd’hui convaincues de la nécessite d’intégrer ce « nouveau cap » dans leur stratégie. Pour y parvenir, le Comité 21 propose d’examiner, avec un cycle d’Ateliers « ODD & métiers », les conditions de prise en compte des ODD dans les différents métiers d’une organisation (management, achats, marketing, reporting, supply-chain, comptabilité, R&D…).
19/07/2018 - Actualités RSO 2018
Le Comité 21 vous propose une sélection d'actualités RSO par thème pour une lecture estival en toute tranquillité. Préparez-vous pour une rentrée toujours plus responsable et engagée !
Le Comité 21 vous propose une sélection d'actualités RSO par thème pour une lecture estival en toute tranquillité. Préparez-vous pour une rentrée toujours plus responsable et engagée !
19/07/2018 - Comptes-rendus des débats ROI de la RSE et dialogue parties prenantes
Dans un contexte de législation transformative de la RSE, le Comité 21 a tenu un débat sur le dialogue renouvelé avec les parties prenantes en juin 2018 et un débat sur la possibilité de mesurer un retour sur l'investissement consacré à la RSE en décembre 2017. Ce document propose les comptes-rendus dans un ordre chronologique, chacun suivi de liens pour approfondir les sujets.
Dans un contexte de législation transformative de la RSE, le Comité 21 a tenu un débat sur le dialogue renouvelé avec les parties prenantes en juin 2018 et un débat sur la possibilité de mesurer un retour sur l'investissement consacré à la RSE en décembre 2017. Ce document propose les comptes-rendus dans un ordre chronologique, chacun suivi de liens pour approfondir les sujets.
04/07/2017 - Devoir de vigilance, préjudice écologique, actions de groupe, lanceurs d’alerte…de nouvelles obligations pour la RSE
Le Comité 21 a organisé le 30 mars 2017 un débat consacré aux dernières dispositions juridiques en matière de RSE : « Devoir de vigilance, préjudice écologique, actions de groupe, lanceurs d’alerte…de nouvelles obligations pour la RSE ». L’occasion de faire le point sur un corpus de textes législatifs qui modifient profondément la RSE ainsi que le rapport entre les entreprises et les citoyens.
Le Comité 21 a organisé le 30 mars 2017 un débat consacré aux dernières dispositions juridiques en matière de RSE : « Devoir de vigilance, préjudice écologique, actions de groupe, lanceurs d’alerte…de nouvelles obligations pour la RSE ». L’occasion de faire le point sur un corpus de textes législatifs qui modifient profondément la RSE ainsi que le rapport entre les entreprises et les citoyens.
14/04/2017 - Fiche repère : L'engagement sociétal, un terrain propice à l'innovation, créateur de valeurs durables partagées
L'engagement sociétal d'une entreprise contribue directement ou via des acteurs locaux publics ou privés, à l’amélioration de la qualité de vie et au développement économique et social des populations et territoires impactés par l’entreprise. L’engagement sociétal ne se limite pas à la philanthropie, il s’agit pour l’entreprise de s’assurer d’adresser des problématiques en lien avec son activité et son expertise. Toutes les entreprises sont concernées, quelques soient leurs tailles, CA, activités, etc.
L'engagement sociétal d'une entreprise contribue directement ou via des acteurs locaux publics ou privés, à l’amélioration de la qualité de vie et au développement économique et social des populations et territoires impactés par l’entreprise. L’engagement sociétal ne se limite pas à la philanthropie, il s’agit pour l’entreprise de s’assurer d’adresser des problématiques en lien avec son activité et son expertise. Toutes les entreprises sont concernées, quelques soient leurs tailles, CA, activités, etc.
18/12/2014 - Fiche repère : Comment et jusqu’où mettre en oeuvre le principe de transparence en matière
de responsabilité sociétale ? (décembre 2014)
Le manque de transparence et le doute quant à la fiabilité de certaines informations données par les dirigeants d’entreprises ou les élus font partie des enjeux de crédibilité des démarches de responsabilité sociétale des organisations. Selon une étude menée par le cabinet Occurrence en 2013, 78% des français jugent que le secteur privé n’est pas assez transparent. Cette crise de confiance est alimentée par des scandales en tout genre : Affaire Junker, Rana Plaza ou encore Affaire Cahuzac entre autres, dans le domaine public. La demande pour une transparence plus importante qu’exercent en permanence les diverses parties prenantes envers les organisations est en ce sens totalement légitime.
Le manque de transparence et le doute quant à la fiabilité de certaines informations données par les dirigeants d’entreprises ou les élus font partie des enjeux de crédibilité des démarches de responsabilité sociétale des organisations. Selon une étude menée par le cabinet Occurrence en 2013, 78% des français jugent que le secteur privé n’est pas assez transparent. Cette crise de confiance est alimentée par des scandales en tout genre : Affaire Junker, Rana Plaza ou encore Affaire Cahuzac entre autres, dans le domaine public. La demande pour une transparence plus importante qu’exercent en permanence les diverses parties prenantes envers les organisations est en ce sens totalement légitime.
14/10/2014 - Fiche repère : La qualité de l'air intérieur, enjeu de santé publique et de santé au travail (Octobre 2014)
Si la pollution de l’air extérieur et ses conséquences sur la santé de l’Homme et l’environnement sont bien connues aujourd’hui, les interrogations concernant la pollution de l’air intérieur sont bien plus récentes et ses connaissances sanitaires restent encore insuffisamment étudiées. Pourtant, nos modes de vie font que nous passons en moyenne 70 à 90% de notre temps à l’intérieur d’un environnement clos et …environ 8h par jour au bureau ! La qualité de l’air y est néanmoins très peu analysée et rarement considérée comme un risque à prendre en compte alors même qu’elle représente un enjeu fondamental de bien être au travail. Certaines professions sont plus particulièrement soumises à ces enjeux. Le code du travail distingue d’ailleurs en la matière les locaux dits à « pollution atmosphérique non spécifique » où la pollution est liée à la seule présence humaine, et les locaux à « pollution spécifique » dans lesquels des substances gênantes ou dangereuses sont émises.. Alors, quelles sont les responsabilités des employeurs et des producteurs face à cet enjeu de santé environnementale ? Quelles sont les contraintes réglementaires existantes ou à venir ? Quels comportements / solutions adopter, en particulier pour concilier enjeux énergétique, thermique et qualité de l’air intérieur ?
Si la pollution de l’air extérieur et ses conséquences sur la santé de l’Homme et l’environnement sont bien connues aujourd’hui, les interrogations concernant la pollution de l’air intérieur sont bien plus récentes et ses connaissances sanitaires restent encore insuffisamment étudiées. Pourtant, nos modes de vie font que nous passons en moyenne 70 à 90% de notre temps à l’intérieur d’un environnement clos et …environ 8h par jour au bureau ! La qualité de l’air y est néanmoins très peu analysée et rarement considérée comme un risque à prendre en compte alors même qu’elle représente un enjeu fondamental de bien être au travail. Certaines professions sont plus particulièrement soumises à ces enjeux. Le code du travail distingue d’ailleurs en la matière les locaux dits à « pollution atmosphérique non spécifique » où la pollution est liée à la seule présence humaine, et les locaux à « pollution spécifique » dans lesquels des substances gênantes ou dangereuses sont émises.. Alors, quelles sont les responsabilités des employeurs et des producteurs face à cet enjeu de santé environnementale ? Quelles sont les contraintes réglementaires existantes ou à venir ? Quels comportements / solutions adopter, en particulier pour concilier enjeux énergétique, thermique et qualité de l’air intérieur ?
18/06/2014 - Fiche repère : la matérialité, décryptage d'un nouvel outil (Juin 2014)
Le reporting RSE s’est développé dans le but de rendre compte des activités des entreprises en matière de développement durable. La loi française appelée “Grenelle II” (Art. 225) a rendu obligatoire ce reporting sur la base de 42 indicateurs ainsi que la vérification externe de toutes les informations publiées. Les rapports de développement durable sont progressivement devenus de plus en plus documentés et complets dans le souci de répondre aux attentes croissantes des analystes ou de la société civile. Mais à vouloir être trop exhaustifs, ils en sont parfois devenus indigestes. Afin de servir réellement d’outil de dialogue avec les parties prenantes et de pilotage de la stratégie RSE, cet exercice du reporting avait donc besoin de revenir à une certaine concision.
Le reporting RSE s’est développé dans le but de rendre compte des activités des entreprises en matière de développement durable. La loi française appelée “Grenelle II” (Art. 225) a rendu obligatoire ce reporting sur la base de 42 indicateurs ainsi que la vérification externe de toutes les informations publiées. Les rapports de développement durable sont progressivement devenus de plus en plus documentés et complets dans le souci de répondre aux attentes croissantes des analystes ou de la société civile. Mais à vouloir être trop exhaustifs, ils en sont parfois devenus indigestes. Afin de servir réellement d’outil de dialogue avec les parties prenantes et de pilotage de la stratégie RSE, cet exercice du reporting avait donc besoin de revenir à une certaine concision.
10/04/2013 - Fiche repère : Responsabilité élargie du producteur et éco-organismes, quelles optimisations possibles ? (Avril 2013)
Le principe de la responsabilité élargie du producteur (REP), qui a été introduit dans la loi française dès 1975, est une déclinaison opérationnelle du principe « pollueur-payeur » dans le domaine de la gestion des déchets. Ce dispositif a été mis en place face à l’accroissement de la quantité de déchets produits. La REP marque ainsi un transfert de la responsabilité de la gestion des déchets des détenteurs vers les producteurs (metteurs sur le marché) en leur faisant supporter les coûts liés au recyclage des déchets issus des produits qu’ils ont mis sur le marché. Au-delà de ce principe de pollueur payeur, la REP permet également de faire face à la raréfaction des matières premières en internalisant, dans le prix de vente du produit neuf, les coûts de gestion de son traitement en fin de vie et en incitant ainsi à l’éco-conception. Si le principe de la REP est définie juridiquement au niveau international par l’OCDE et au niveau européen par la Commission européenne, les moyens de son application sont laissés à l’appréciation de chaque Etat.
Le principe de la responsabilité élargie du producteur (REP), qui a été introduit dans la loi française dès 1975, est une déclinaison opérationnelle du principe « pollueur-payeur » dans le domaine de la gestion des déchets. Ce dispositif a été mis en place face à l’accroissement de la quantité de déchets produits. La REP marque ainsi un transfert de la responsabilité de la gestion des déchets des détenteurs vers les producteurs (metteurs sur le marché) en leur faisant supporter les coûts liés au recyclage des déchets issus des produits qu’ils ont mis sur le marché. Au-delà de ce principe de pollueur payeur, la REP permet également de faire face à la raréfaction des matières premières en internalisant, dans le prix de vente du produit neuf, les coûts de gestion de son traitement en fin de vie et en incitant ainsi à l’éco-conception. Si le principe de la REP est définie juridiquement au niveau international par l’OCDE et au niveau européen par la Commission européenne, les moyens de son application sont laissés à l’appréciation de chaque Etat.
07/03/2012 - Fiche repère rendez-vous dialogue parties prenantes n°3 : de quelle façon engager un dialogue et comment le déployer en interne ?
Il existe différentes façons de dialoguer avec ses parties prenantes. Cette pratique peut être définie comme une interaction constructive entre une organisation et celles-ci, organisée en amont de la prise de décision et pouvant l’influencer.La norme ISO 26000 évoque à ce sujet la création d’opportunités d’échange, tandis que la norme AA1000 insiste sur la pertinence des parties prenantes participant au processus de dialogue, ainsi que sur sa finalité : la recherche de résultats tangibles et acceptés par tous.
Il existe différentes façons de dialoguer avec ses parties prenantes. Cette pratique peut être définie comme une interaction constructive entre une organisation et celles-ci, organisée en amont de la prise de décision et pouvant l’influencer.La norme ISO 26000 évoque à ce sujet la création d’opportunités d’échange, tandis que la norme AA1000 insiste sur la pertinence des parties prenantes participant au processus de dialogue, ainsi que sur sa finalité : la recherche de résultats tangibles et acceptés par tous.
13/12/2011 - Fiche repère "Bien-être au travail" (Décembre 2011)
La souffrance au travail existe aujourd'hui à tous les échelons des organisations. L‟absentéisme, le turn-over, le manque de motivation ou d‟implication, le stress des salariés sont très fortement liés à la politique de ressources humaines ou aux pratiques de management. Il devient donc urgent de repenser la place de l‟individu au sein de l‟entreprise / l‟organisation. Le défi est ambitieux : redonner du sens au travail, permettre de développer la qualité des relations entre collaborateurs et veiller au bien-être des individus pour améliorer les performances. Comment s‟engager dans une démarche de bien-être au travail ? Comment passer d‟une logique de réparation des souffrances (stress, violence, harcèlement, suicide, etc.) à une logique de prévention des risques psychosociaux voire plus globalement de promotion de la santé ?
La souffrance au travail existe aujourd'hui à tous les échelons des organisations. L‟absentéisme, le turn-over, le manque de motivation ou d‟implication, le stress des salariés sont très fortement liés à la politique de ressources humaines ou aux pratiques de management. Il devient donc urgent de repenser la place de l‟individu au sein de l‟entreprise / l‟organisation. Le défi est ambitieux : redonner du sens au travail, permettre de développer la qualité des relations entre collaborateurs et veiller au bien-être des individus pour améliorer les performances. Comment s‟engager dans une démarche de bien-être au travail ? Comment passer d‟une logique de réparation des souffrances (stress, violence, harcèlement, suicide, etc.) à une logique de prévention des risques psychosociaux voire plus globalement de promotion de la santé ?
13/11/2011 - Fiche repère rendez-vous parties prenantes n°2 : comment identifier et cartographier ses parties prenantes ?
Dès qu’une entreprise a saisi l’intérêt d’engager un dialogue avec ses parties prenantes (cf. fiche repère n°1), elle est immédiatement amenée à se poser certaines questions très pratiques : qui sont les parties prenantes de l’entreprise ? Comment les identifier précisément et s’assurer de n’en oublier aucune importante ? Avec lesquelles dialoguer en priorité ? Qui impliquer en interne pour mener à bien la cartographie ?
Dès qu’une entreprise a saisi l’intérêt d’engager un dialogue avec ses parties prenantes (cf. fiche repère n°1), elle est immédiatement amenée à se poser certaines questions très pratiques : qui sont les parties prenantes de l’entreprise ? Comment les identifier précisément et s’assurer de n’en oublier aucune importante ? Avec lesquelles dialoguer en priorité ? Qui impliquer en interne pour mener à bien la cartographie ?
18/04/2011 - Fiche repère : Comment mettre en oeuvre
une compensation carbone volontaire efficace ? (Avril 2011)
Selon la Charte de compensation volontaire, « la compensation carbone est un mécanisme de financement par lequel une personne physique ou morale substitue, partiellement ou totalement à une réduction à la source de ses propres émissions, l’achat auprès d’un tiers d’une quantité équivalente de crédits carbone [ou la contribution sous forme de don direct à un projet de compensation]. Le principe sous-jacent est qu’une quantité de Gaz à effet de serre (ou GES) émise dans un endroit peut être « compensée » par la réduction ou la séquestration d’une quantité équivalente en un autre lieu. Ce principe de « neutralité géographique » est au coeur des mécanismes mis en place par le Protocole de Kyoto.»
Selon la Charte de compensation volontaire, « la compensation carbone est un mécanisme de financement par lequel une personne physique ou morale substitue, partiellement ou totalement à une réduction à la source de ses propres émissions, l’achat auprès d’un tiers d’une quantité équivalente de crédits carbone [ou la contribution sous forme de don direct à un projet de compensation]. Le principe sous-jacent est qu’une quantité de Gaz à effet de serre (ou GES) émise dans un endroit peut être « compensée » par la réduction ou la séquestration d’une quantité équivalente en un autre lieu. Ce principe de « neutralité géographique » est au coeur des mécanismes mis en place par le Protocole de Kyoto.»
16/03/2011 - Le guide pratique du marketing durable (mars 2011)
Comment réconcilier marketing et développement durable ? Qu’est-ce que le marketing durable ? Quels sont les risques qu’un responsable marketing doit savoir déjouer en matière de développement durable ?
Comment réconcilier marketing et développement durable ? Qu’est-ce que le marketing durable ? Quels sont les risques qu’un responsable marketing doit savoir déjouer en matière de développement durable ?
15/03/2011 - Fiche repère rendez-vous parties prenantes n°1 : Pourquoi dialoguer avec ses parties prenantes ?
De nombreuses entreprises ont mis en place une plateforme de dialogue avec leurs parties prenantes, notamment les entreprises de culture anglosaxonne. Elles sont encouragées en cela par les principaux référentiels relatifs à la responsabilité sociétale des entreprises (RSE) - norme ISO 26000, GRI, AA1000AS, etc. – qui donnent aujourd’hui une place centrale aux parties prenantes (cf. page 4). La capacité d’une entreprise à prendre en considération les attentes de ses parties prenantes est ainsi devenue une condition de crédibilité pour assurer la légitimité d’une stratégie de RSE.
De nombreuses entreprises ont mis en place une plateforme de dialogue avec leurs parties prenantes, notamment les entreprises de culture anglosaxonne. Elles sont encouragées en cela par les principaux référentiels relatifs à la responsabilité sociétale des entreprises (RSE) - norme ISO 26000, GRI, AA1000AS, etc. – qui donnent aujourd’hui une place centrale aux parties prenantes (cf. page 4). La capacité d’une entreprise à prendre en considération les attentes de ses parties prenantes est ainsi devenue une condition de crédibilité pour assurer la légitimité d’une stratégie de RSE.
18/12/2010 - Fiche repère : Comment réussir l’ancrage territorial de son entreprise ? (décembre 2010)
Comment réussir l’ancrage territorial de son entreprise ? Ou comment être une entreprise citoyenne en partenariat avec les acteurs de son territoire ?
Comment réussir l’ancrage territorial de son entreprise ? Ou comment être une entreprise citoyenne en partenariat avec les acteurs de son territoire ?